
Livre d’Or
de l’Institut Hoffman
Votre parcours ne s’est pas arrêté à la fin du Processus… et nous serions si heureux de continuer à en percevoir l’écho !
Ce livre d’or est un espace vivant, créé pour recueillir vos témoignages, vos mots du cœur, vos souvenirs et transformations. Quelle trace le Processus a-t-il laissée en vous ? Qu’a-t-il éveillé ou libéré ? Comment rayonne-t-il encore aujourd’hui dans votre vie ?
Que ce soit un simple mot, une anecdote, une photo ou une lettre ouverte, une courte vidéo, chaque partage est un trésor qui nourrit notre mission et inspire les futurs participants.
Merci d’avance pour votre contribution : elle nous est précieuse…
Nos témoignages

La phrase qui me vient pour la décrire est : The only way to get out is to go through .
A bientôt pour les 50 ans ...

Permettez-moi, en passant, une parenthèse légère : Chérif, Katrin – vous n’avez pas pris une ride ! Cinq ou six années sans nous voir « en vrai » n’ont pas laissé de trace sur vous. Vous traversez le temps comme des souvenirs heureux.
Mais revenons à l’essentiel : ce qui m’a le plus marqué dans le processus, au-delà de la scénographie soignée, des rituels et de la structure, c’est la manière dont il m’a guidé vers deux choses fondamentales : le pardon… et l’acceptation. Deux mouvements intérieurs qui m’ont fait dire, sans doute pour la première fois : « Bienvenue dans le monde des adultes. »
Si je devais choisir un souvenir précis, ce serait celui des étreintes de Karin. Il y avait, dans ces étreintes, quelque chose d’unique. Elles s’accompagnaient toujours d’un soupir – un souffle tout près de l’oreille, presque imperceptible. Et pourtant, dans cette exhalation discrète, il y avait tout : une forme d’acceptation inconditionnelle, une tendresse qui n’attend rien, une chaleur qui dit : « Tu as le droit d’être exactement ce que tu es. » Je comprends parfaitement ce que Jean-Luc a exprimé en évoquant en elle une. Moi aussi, j’ai projeté sur Karin une figure maternelle idéalisée – mais elle était bien plus que cela : une présence fondatrice.
À 64 ans, je peux affirmer sans hésiter que les personnes qui m’ont profondément marqué dans mon parcours se comptent sur les doigts d’une main. Karin est de celles-là. Grâce à elle, certaines blessures ont pu cicatriser. Les cicatrices sont là, bien sûr – visibles parfois – mais elles ne me font plus souffrir. Et cela, c’est un don inestimable.
J’ai aussi été touché par tout le « décorum » du processus : la façon dont les scènes sont construites, la puissance symbolique des rituels, la beauté de la mise en forme. Cela m’a aidé, profondément, à plonger dans mes couches les plus enfouies.
Aujourd’hui encore, je suis heureux – honoré même – de partager autour de moi la force de ce processus, lorsque je rencontre des personnes blessées par leurs histoires familiales, par leurs rapports aux figures parentales.
Et même si, selon le SAT, je suis de type 8 – ce fameux 8 au cœur secret et sensible –, je peux vous dire qu’il m’arrive encore de pleurer. Mais de pleurer de joie.
Un grand merci. »
J’aimerais partager deux anecdotes, deux fragments de ce voyage intérieur qui m’a profondément transformé.
La première remonte à l’un des symboles visuels du processus : les chaises disposées en arc de cercle. Je me souviens que je choisissais systématiquement de m’asseoir à l’extrémité droite de ce demi-cercle. Ce comportement attira un jour l’attention de Karin (Karin Reuter, à l’origine de l’Institut Hoffman France), qui me demanda : « Jean-Luc, pourquoi choisis-tu toujours cette place-là ? ». Je lui répondis que cela me permettait d’observer, d’analyser, de comprendre ce qui se déroulait dans le groupe. Ce qui était vrai… mais incomplet. Ce que je ne lui ai pas avoué sur le moment, c’est que je m’installais aussi là pour l’observer, elle. Pour contempler la manière dont elle animait le processus, avec une maestria remarquable.
J’étais fasciné par sa capacité à conjuguer douceur et fermeté, avec un rare équilibre de respect, de professionnalisme et de finesse. J’y voyais une sorte de « chirurgie clinique » appliquée à la dynamique du groupe, une opération d’une précision humaine bouleversante. Cette alchimie de compétence et d’humanisme me captivait. Et, au fond de moi, je brûlais du désir d’apprendre, de comprendre davantage cet art du lien et de la transformation.
Ma seconde anecdote est plus intime. Chaque matin, Karin me posait invariablement la même question : « Jean-Luc, comment te sens-tu ? ». Bien sûr, elle la posait à tous les participants. Mais pour moi, cette question récurrente était profondément déstabilisante. Elle me poussait, sans relâche, à aller au-delà de mes mécanismes de défense, à quitter l’analyse pour accéder à l’émotion. Ce n’est qu’après coup que j’ai compris : cette insistance faisait partie intégrante du processus, elle visait à m’aider à grandir, à exprimer ce que je ressentais réellement.
Avec le recul, je peux dire que Karin a occupé, à ce moment de ma vie, une place comparable à celle d’une seconde mère.
Quant à l’impact du processus Hoffman sur ma trajectoire, il fut immédiat et considérable. Je l’ai suivi en 2006. Et dans les semaines qui ont suivi, porté par une énergie nouvelle, décuplée, j’ai fondé ma propre société de conseil en gouvernance de carrière. Cette société existe encore aujourd’hui, presque vingt ans plus tard. Le processus a donc agi comme un catalyseur, une libération d’élan vital.
Et ce n’est pas tout. Lors de rencontres organisées entre anciens participants en Suisse, j’ai eu le bonheur de rencontrer la femme de ma vie, Concetta. Ensemble, nous vivons une relation épanouissante, haute en couleur, vivante, nourrie de joie. Deux transformations majeures – professionnelle et amoureuse – ont donc pris racine dans cette expérience.
Enfin, chère Karin, je suis un peu ému en m’adressant à toi. Nous te devons une immense gratitude, pour bien des raisons. Mais s’il m’est permis d’en évoquer deux en particulier : d’abord, ton courage et ta vision d’avoir implanté le processus Hoffman dans la francophonie, un choix qui, j’en suis sûr, n’avait rien d’évident à l’époque. Ensuite, pour l’énergie, le savoir et l’amour que tu as transmis à Katrin, à Cherif, et à chacun d’entre nous.
Nous te sommes infiniment reconnaissants pour l’œuvre que tu as accomplie.
Merci d’être celle que tu es, et de m’avoir aidé à devenir celui que je suis.
Mille mercis. »
J'ai beau chercher, impossible de trouver un aspect de mon existence qui n'ait pas été impacté positivement par ce processus. Et dire que j'aurais pu passer à côté de cette expérience... passer à côté du reste de ma vie.
Depuis, je ressens une obligation d'informer au sujet de ce processus miraculeux: très souvent, ne pas le faire serait se rendre coupable de non-assistance à personnes en danger.
Au cours de cette semaine magique, j'ai trouvé ce que je cherchais depuis si longtemps: la Paix et la Liberté. Le souvenir de ce processus restera toujours au fond de moi, avec une gratitude sans borne pour tous ceux qui l'ont rendu possible.
Merci!
Alain Vigneau, Les Chemins du Clown.
Après quelques semaines de confinement COVID… et des décennies de carcan, le Processus Hoffman a lancé un chemin personnel qui m’a transformée pour le meilleur : ouverture aux autres, apaisement, réintégration de mon corps, libération… L’étincelle du Processus a allumé une mèche qui lentement se propage sur le chemin de ma vie.
A la fin de ce Processus, il y a presque 5 ans, j’avais échangé avec un autre participant adepte du « Camino » : je me sentais attirée - car la marche avait toujours été pour moi un fil rouge même dans les périodes les plus obscures - SANS OSER franchir le pas… depuis 5 ans il y a eu un paquet de changements dans ma vie, et J’AI OSE cet hiver : Le Puy-Santiago avec une ado de 17 ans confiée par une association pour une marche de rupture de 3 mois. Un magnifique cadeau que je me suis fait ; un magnifique cadeau que le Processus Hoffman m’a fait.
Разговоры на балконах и в гостиных, во время прогулок и конференций, быть рядом, когда мы нужны друг другу и делиться инновациями, вдохновляя друг друга.
С днем рождения, дорогой Hoffman Institut France!
Ce processus m’a sauvé de moi-même et m’a reconnecté avec l’humain.
Encore merci a Sandra, Luc et Marie-Claire pour votre exceptionnel travail, grande générosité et constante bienveillance. Vous aurez toujours une place dans mon cœur.
Que sirva de homenaje estas palabras para Karin que ha dedicado su vida a este hermoso trabajo adaptándolo al sentir del los franceses y que ha propiciado una transición amorosa a Katrin acompañada ahora por Cherif.
Mis mejores deseos para el Instituto y para los que encarnáis su espíritu y buen hacer.
Un abrazo de vuestros hermanos de España
S extraire une semaine d une vie agitée et en perte de sens pour se recentrer sur soi a été le premier pas . L accompagnement quotidien de Marie Claire , Sandra et Luc, les propositions d introspection et d expression ont été le deuxième pas pour une avancée significative vers la libération. Le groupe a été porteur et aidant dans les moments difficiles comme dans les réussites. Aujourd’hui hui mon poignet est orné d un bracelet qui porte le signe de là quadrinite qui me rappelle chaque jour de ne pas oublier ce dont j ai été capable et ce que j ai compris. Aujourd’hui je vis l instant présent alors qu’avant tout etait programmé, anticipé dans le stress permanent et le soucis de devoir tout bien faire et surtout pour les autres . J ai à coeur à présent de mettre en place les outils du processus et continuer à travailler en échangeant avec les Hoffmaniens , ceux de mon groupe , ceux des jeudis solidaires et d autres groupes comme « cultiver son processus ». je retiens que nous avons tout en nous pour réussir et qu une lumière nous anime même dans nos côtes les plus sombre 😊 et pour toujours je n oublierai jamais »aujourd’hui hui est le jour le plus important «
MERCI pour tout et je souhaite à tout le monde de vivre le processus Hoffman dans sa vie☀️🎁
Je croyais avoir déjà beaucoup travaillé sur moi.
Mais le Processus Hoffman m’a permis d’aller là où je ne pensais plus devoir aller : au cœur de mes racines.
J’y ai trouvé non seulement de la paix, mais une force tranquille, enracinée, qui m’accompagne chaque jour.
Avec mes parents, cela a ouvert un espace de tendresse, de présence vraie.
Avec mes enfants, cela m’a donné la conscience que les aimer, c’est aussi les laisser suivre leur propre route.
Et dans mon métier, cela m’a offert une liberté intérieure précieuse : celle d’agir sans chercher à plaire, mais en restant fidèle à ce qui m’habite.
Aujourd’hui encore, je recommande le Processus, parce que je sais ce qu’il peut éveiller.
Il ne transforme pas ce que l’on vit — il transforme la manière dont on le traverse.
Je n’avais pas l’habitude de participer à ce genre de choses, et je n’imaginais pas à quel point j’allais en ressortir changé, épanoui, avec un sentiment de bien être si présent, et à quel point j’allais apprécier cette semaine de déconnexion avec la vie extérieure, loin du téléphone et de tout ce qui permet de nous déconnecter de nous-mêmes.
Le Processus Hoffman m’a permis de prendre conscience de mon fonctionnement, en tant que père, en tant qu’époux mais aussi en tant que collègue de travail. J’ai gagné en sérénité, dans tous les types de relations (amoureuse, amicales, professionnelles) Pouvoir se rendre compte de ses mécanismes, être capable de retirer le « pilote automatique » avec lequel on a l’habitude de fonctionner est l’une des choses que j’ai le plus apprécié. 2 ans après mon Processus, je remercie encore l’équipe de l’institut pour cela. Le travail qui est fait durant le processus ne cherche jamais à pointer du doigt tel ou tel comportement, mais à y apporter de la compréhension, du calme, de la paix.
J’envoie tous mes vœux de bonheur à l’institut pour ses 33 ans, et j’en profite pour remercier toute l’équipe, celle qui m’a accompagné, mais aussi celle qui est derrière, qu’on ne voit pas forcément.
Dans une société qui semble plonger de plus en plus dans l’inhumanité, l’individualisme, la loi du plus fort, vous permettez à ceux qui le veulent de changer, de trouver un sens à une vie qui a tendance à nous échapper.
Merci.
J’ai l’impression de m’être offerte une nouvelle vie… Et je reste, encore aujourd’hui, profondément engagée dans mon chemin de transformation personnelle.
Je souhaite à toute personne en quête de vérité intérieure de commencer par là.
Un immense merci à Chérif et Marie-Claire, qui m’ont accompagnée avec tant de justesse tout au long du processus, ainsi qu’à toute l’équipe 🧡 de l’Institut !
Un anniversaire symboliquement puissant !
Engagés nous le sommes dans le changement, avec en perspective une renaissance, vôtre et nôtre !